Souriez vous êtes ruinés

Un joyeux et profond parti pris d'en rire
De
Yves Bourdillon
Editions du Rocher
Notre recommandation
4/5

Infos & réservation

Thème

Grèves, émeutes… sommets européens, pénuries d’essence, de sucre, de vivres. Une sorte de « chienlit » en bref, un remake de mai 1968, la libération sexuelle en moins.

Fred Beaumont, journaliste, doit couvrir les évènements pour deux journaux antagonistes. 
Ce double jeu va lui poser quelques problèmes avec sa famille, ses amis, ses employeurs, sa fille et la femme qui partage sa vie.

Qui est-il réellement ? Quand est-il en accord avec ses convictions intimes ?

Points forts

Ce livre aborde tous les sujets d’actualité avec beaucoup d’humour et, en particulier, «l’affrontement entre ceux qui ne veulent plus donner et ceux qui veulent continuer à recevoir ».

Sur le ton de la comédie, les vrais problèmes sociaux sont abordés, comme les difficultés qu'il y a aujourd'hui à réussir tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel.

Quelques réserves

L’épaisseur du livre (510 pages) peut décourager ceux qui sont lassés par l’atmosphère politique et sociale actuelle...

Encore un mot...

Grâce à son humour, on se laisse emporter par cette comédie qui offre la possibilité de mieux comprendre les crises que nous traversons et tentons parfois de fuir.

Une phrase

"Un journal c’est comme les saucisses: il vaut mieux parfois ne pas savoir comment c’est fait". 

L'auteur

Yves Bourdillon est reporter international au quotidien "Les Echos" depuis 1996. Il suit les crises politiques, économiques et sociales aux quatre coins du monde.

« Souriez vous êtes ruinés » est son deuxième roman, après «  Du trapèze au-dessus des piranhas », prix du premier roman du salon de l’Ile de France.

Ajouter un commentaire

Plain text

  • Aucune balise HTML autorisée.
  • Les adresses de pages web et les adresses courriel se transforment en liens automatiquement.
  • Les lignes et les paragraphes vont à la ligne automatiquement.

Ils viennent de sortir

Essais
Suite orphique
De
François Cheng, de l’Académie française postface de Daniel-Henri Pageaux